accouchement différéSource AFP

Une femme enceinte de triplés a accouché prématurément d’un de ses bébés à Rennes tandis que les médecins ont réussi à prolonger sa grossesse pour les deux autres, c’est-à-dire à différer leur accouchement, a révélé vendredi France Bleu Armorique.

Il s’agit d’un cas « rare » mais « pas exceptionnel », a indiqué à l’AFP le Dr Marc-Alain Rozan, membre du syndicat des gynécologues-obstétriciens.

22 cas d' »accouchements différés » de triplés ont ainsi été recensés entre 1984 et 1998 dans le monde, a-t-il indiqué, citant un rapport rédigé notamment par le Dr Alexandra Benachi, gynécologue-obstétricienne à l’hôpital Necker-Enfants malades.

Les cas d’accouchements différés se sont multipliés depuis le recours important à la procréation médicalement assistée, a-t-il précisé.

Les accouchements différés concernent 1,37% des grossesses gémellaires, avec une incidence du même type pour les autres grossesses multiples, selon le médecin.

La maman, âgée de 38 ans, a accouché naturellement à 25 semaines d’un premier petit garçon dans une maternité rennaise. Les médecins ont réussi à stopper son accouchement avec des médicaments anti-contractions pour qu’elle puisse prolonger sa grossesse, selon France Bleu Armorique.

Interrogés par l’AFP, les responsables de la maternité n’ont pas démenti ces informations, tout en refusant de donner davantage de précisions pour cause de « secret médical » et « par respect pour les parents, très stressés » par l’agitation médiatique autour de cet événement.

L’accouchement différé peut être pratiqué pour prolonguer la grossesse lorsque la rupture prématurée des membranes survient avant 28 semaines. Selon le Dr Rozan, le bébé né à Rennes était vraisemblablement « tout seul dans une seule poche », et donc il ne s’agirait pas de « vrais triplés puisqu’une membrane les sépare ».

Source: AFP Rennes

Aux États-Unis, Mia Washington, une mère américaine a mis au monde des jumeaux en 2008.
Elle vient de découvrir qu’ils n’ont pas le même père.
Mia Washington a admis avoir eu une relation extra-conjugale qui expliquerait la fécondation de ses ovules par deux hommes différents.

La femme et son partenaire, James Harrison ont décidé de faire une série de tests ADN après avoir remarqué que leurs jumeaux, Justin et Jordan, avaient des visages complètement différents.
Selon le test de paternité, il y a plus de 99,99% de chances que les deux enfants n’aient pas le même père.
Le laboratoire n’avait jamais vu un tel résultat avant mais confirme qu’il s’agit bien là de la réalité. Selon le Dr Chris Dreiling, cela peut arriver lorsque l’ovaire d’une femme libère plusieurs ovocytes pendant l’ovulation.

Si la femme a plusieurs partenaires sexuels au même moment, ceux-ci peuvent féconder deux oeufs séparés

D’autres histoires insolites, c’est ici

Soulagées ou euphoriques, sereines ou débordantes d’appréhension, nous voilà désormais mères. Le voyage est terminé, les chemins d la maternité débouchent vers un océan d’inconnu. Aucun mot ne saurait traduire notre émotion à cet instant précis.
Les premières heures sont celles de la découverte. On fait connaissance, on s’imprègne d’odeurs, tels des animaux.

Entrer dans notre nouveau rôle de parents ne passe pas par un investissement à 100% de notre fonction maternelle. Devenir mère n’empêche pas de rester femme.

A contrario, rappelons que la sexualité ne rime pas toujours avec plénitude. Si la sexualité au cours de la grossesse est parfois problématique, le tabou pèse encore pendant les mois qui suivent l’accouchement. Et les femmes sont malheureusement encore peu nombreuses à oser en témoigner. Il est important de ne pas tomber dans l’engrenage du « No sex ».

Plusieurs facteurs peuvent intervenir.

La peur, un sentiment naturel
La peur de la douleur est incontestablement un frein à la reprise d’une sexualité épanouie. Points de suture, épisiotomie, césarienne, hémorroïdes et saignements sans fin nous cantonnent dans un mauvais rôle. On dit souvent qu’il faut du temps pour se remettre d’une telle épreuve.

Fatigue et baby blues, une libido au point mort
Le retour à la maison s’accompagne naturellement d’une fatigue liée aux derniers mois de grossesse et à l’accouchement. On se sent souvent perdue, seule et désespérée. On retombe dans la vie, la vraie, celle qui nous enchaîne à des tâches fastidieuses avec le linge à laver, à repasser, les courses à faire, les repas à cuisiner …. parce que c’est cela notre quotidien.Certains événements nous paraissent insurmontables. Il n’y a pas de wonder maman. Dans ce  contexte, faire une place aux relations sexuelles est indispensable. Etrange constat que d’imaginer paradoxalement que c’est le sexe qui nous a amenés à ne plus avoir de relations sexuelles.

Rester amants tout en devenant parents n’est à priori pas un cheminement naturel.
Par contre ne jamais rompre le lien est le sage conseil à broder au fond de son cœur.
Se confronter à l’exercice maternel ne s’avère pas aussi aisé qu’il n’y paraît. On a tendance, les premières semaines, les premiers mois, à vivre en interaction avec son bébé, ce petit être est déjà inscrit dans nos fantasmes.

Devenir parents, c’est rencontrer des obstacles, mais c’est aussi accepter de faire des erreurs. C’est le métier de toute une vie.

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Cette première consultation de grossesse est une étape essentielle.

Elle a pour but de :

> Diagnostiquer la grossesse
> Calculer le terme de la grossesse
> Explorer votre passé médical
> Déceler les anomalies immédiates
> Evaluer les risques ultérieurs éventuels
> Préciser l’existence d’une maladie génétique
> Faire procéder aux examens complémentaires (analyse d’urine, prise de sang, définition du groupe sanguin …)
> Informer, conseiller et rassurer la future mère

Source : Magrossesse.com

Les fans d’Hello Kitty ont désormais leur maternité. Et non vous ne rêvez pas ! Cet hôpital situé à Taiwan (Yuanlin) a ouvert ses portes en 2006 et dispose de 30 chambres toutes décorées avec Hello Kitty. Rien n’a été oublié pour faire oublier aux mamans leurs peurs liés à l’accouchement. Il paraîtrait même que le personnage Hello Kitty figure sur l’acte de naissance du bébé. J’aimerais bien savoir ce qu’en pense les papas.

J’aurais aimé vous présenter les lieux mais l’outil ne fonctionne pas pour le moment. Pour plus de photos rendez-vous donc ici : Photos de la maternité

La grossesse nerveuse ou plus communément appelée « couvade » chez l’homme est un phénomène courant et parfois impressionnant.
Leur femme est enceinte et c’est lui qui vit pleinement ces instants.

couvade

On ne pourra pas dire que Monsieur ne s’est pas investi durant la grossesse … il paraît toutefois que ce symptôme disparaît à la naissance de l’enfant.

Joyeuse grossesse cher papa !

Bonjour,

Magrossesse a quelques soucis techniques provisoires au niveau de ses pages et de son forum.
L’accès à l’administration du site m’est impossible, c’est pour cela que je vous écris ici.
Tout doit rentrer dans l’ordre cet après midi.

Je vous prie sincèrement de nous en excuser.
Si vous souhaitez plus d’informations vous pouvez joindre l’ingénieur du site en cliquant : ICI

Bien à vous,

Héléna

meres-porteuses

Michèle André, vice présidente du Sénat s’est intéressée au problème des enfants nés d’une « mère porteuse ».
En France ce procédé est interdit, sous peine de sanctions pénales et civiles. C’est pourquoi bon nombre de couples se rendent à l’étranger (Etats Unis, Belgique, Canada …) où ce genre de procédé est toléré.

Verra-t-on un jour en France une loi accordant aux couples mariés, le droit d’avoir recours à une « mère porteuse » ?
Peut-être mais sous certaines conditions.
« Seules les femmes qui ne peuvent pas mener à terme une grossesse soient concernées. Les critères sont donc médicaux. Cela élimine toute demande de confort » a déclaré Michèle André.

Le couple devra :
– être marié ou vivant ensemble depuis 2 ans,
– il résidera en France,
– la femme devra être dans l’impossibilité de mener une grossesse à terme.
– un des deux parents devra, obligatoirement être le parents génétique de l’enfant.

Qui pourra être « mère porteuse » ?
Une femme résidant en France et qui devrait avoir déjà un enfant.
Une femme de la famille (sœur, cousine, belle-sœur …) pourrait toutefois tenir ce rôle à l’exception de la mère pour le compte de sa fille.

Il est entendu qu’il n’est pas question que la « mère porteuse » soit rémunérée mais qu’elle reçoive un « dédommagement » pour les frais médicaux qui ne sont pas pris en charge par le régime général de la Sécurité sociale.

Alors « mère porteuse » pour demain ?

Mme Michèle André et son groupe de travail planche sur le sujet. « Nous devons légiférer pour autoriser les mères porteuses » a t-elle déclaré.

Qu’en pensez-vous ? Donnez vous aussi votre opinion.

Certaines maternités ont encore beaucoup de mal à intégrer le fait qu’enceinte nous aimerions avoir un peu plus d’intimité.
Uriner dans un petit pot en vu d’un dosage de notre taux de sucre dans le sang alors que la copine attend patiemment son tour dans l’entre baillement de la porte n’est franchement pas une situation très enviable …
Qui n’a jamais désirer passer un peu plus inapercue dans ces moment là ?

Voici un dessin, début d’une longue série

pause-pipi-grossesse

Après des mois à murir notre BD, Valérie et moi sommes enfin prêtes à vous présenter quelques planches.

Notre premier choix porte sur la recherche de maternité.
Vous avez peut être, vous aussi été confrontée aux longues passées à tenter d’expliquer à la secrétaire du service Maternité que vous souhaiteriez juste prendre un RDV car vous étiez enceinte.
De l’autre côté de l’appareil, votre interlocutrice commence à vous poser une série de questions sans fin pour gentiment conclure: « Nous n’avons plus de place, essayez d’appeler une autre maternité ». Chouette, parce que nous n’avions que cela à faire.

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